Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

restauration scolaire - Page 4

  • REUNIONS PUBLIQUES A VANVES : UN DIALOGUE VOULU ET QUELQUEFOIS HOMERIQUE

    Ce soir se déroule à l’école Marceau, la première des trois dernières réunions publiques de quartiers semestrielles de la seconde mandature de Bernard Gauducheau,  avant les élections de Mars 2014. Il en aura ainsi tenu 36, occasion de présenter des projets aux riverains comme la résidence étudiante Larmeroux, les travaux d’assainissement des rues Minard, Gresset-Arnaud pour lutter contre les inondations à répétition lors d’orages particuliérement violents, la réhabilition du pont SNCF du Clos Montholon, le projet Cogedim à l’emplacement de la Caverne des Particuliers, de l’immeuble qui a été construit à l’angle des rues Sadi Carnot et Danton pour la SCA Danton (SMI) pour du personnel militaire, l’état d’avancement du PLU en 2009 et en 2010, les résultats l’expérimentation du béton non polluant de la rue Jean Bleuzen, le projet de Tour Triangle avec des représentants de Viparis/Unibail… . « C’est extraordinaire de faire des réunions publiques pendant 3H30 où les vanvéens s’expriment, où les élus expliquent ce qu’ils font. Quel plus bel exemple de ces réunions qui attirent de plus en plus de monde. Ce n’était pas à la mode au début. Il a fallu recréer ce dialogue. Et c’est par plusieurs dizaines que les vanvéens viennent. Vous n’avez pas mesuré ce que représente cette possiblité d’échange ! » expliquait il à l’une d’entre d’elle.

    Mais ce ne sont pas les seules qu’il a organisé, car tout projet public et privé, a fait l’objet de réunions publiques dont certaines sont restés ancrés dans les annales parce qu’elles ont été très animées avec des échanges très vifs entre les promoteurs et les architectes d’un côté, les riverains et les élus de l’autre qui sont montés au créneau :  La résidence hotelière prévue entre les rues Aristide Briand et Raymond Macheron à l’emplacement du CAT qui a dû être entièrement revu pour se transformer en résidence plus classique à la suite de la réunion publique du 14 Novembre 2011, sous la pression des riverains. La résidence prévue par le promoteur Sofiane  à l’emplacement du garage de la rue Raymond Marcheron qui a donné lieu à 4 réunions publiques ( 14 Novembre et 12 Décembre 2011,  12 Mars et  10 Juillet 2012) et au refus du permis de construire par le maire qui avait pris fait et cause pour les riverains notamment après les dysfonctionnements relevés sur le chantier de la résidence étudiante de la rue Diderot. Le chantier de 63 logements du promoteur Martek,  le long des pavillons de la villa des Matrais, a donné lieu à une réunion publique le 24 Juin 2013, très chaude,  à la suite de fissures apparues dans certains pavillons, amenant Gérard Laubier, maire adjoint à perdre son calme légendaite. A contrario, la plus consensuelle s’est déroulé le 29 Juin 2010 lors de la présentation des plans du jardin aménagé sur la dalle qui recouvre le Bd périphérique à la porte de Vanves avec les maires du XIVarrondissement de Paris (Pascal Cherki) et de Malakoff (Catherine Margaté). La plus constructive a concerné le Rosier Rouge (3 Mai 2012) car elle a permis de faire évoluer le projet même s’il a fallu le réduire avec l’abandon du bâtiment prévu à l’emplacement du parking pour un accueil de jour de malades du cancer.  La plus ennuyante a été sans contestation possible la réunion spécifique consacrée au budget et aux finances locales le 23 Juin 2009, ce qui a incité le maire à prévoir une séquence « présentation budgétaire » lors des réunions publiques du printemps plus courte.

    Il a ainsi organisé une seule réunion publique en 2008 (14 Avril) sur le projet d’aménagement de la Cogedim sur le site de la Cave des Particuliers rue Jean Bleuzen,  10 Réunions publiques en 2009, une seule en 2010 (jardin prévu sur la dalle du Périph), 6 en 2011, 9 en 2012 et 7 en 2013 qui ont concerné de multiples projets. Tout y passé : Les résidences hotelière de la rue A.Briand (23 Mars 2009) et étudiante de la rue Diderot (2009), les chantiers de privées de la rue Aristide Briand (14 Nov,  12 Dec.2011, 23 Oct. 2012) dont le résultat a été la mise en place d’un site internet et de sentinelles sur chaque chantier  en 2012,  comme pour le chantier du futur siége d’Hachette qui a fait l’objet de 3 réunions (13 Dec 2011, 11 Juin 2012, 11 Février 2013)  - avec cette exclamation d’un riverain mécontent qui est resté dans les annales  : « Moi je revendique ma part de soleil ! » -    le projet de résidence sociale de 120 logements du Rosier Rouge (9 Dec 2011), une résidence à l’emplacement de la rue de Châtillon (21 fev 2013)

    Une des phrases favorites du maire, pendant ces réunions était « Ma volonté n’est pas de faire le bonheur des gens malgré eux ».Il a précisé  souvent  les régles du jeu aux protagnistes : « Cette réunion s’inscrit dans une pratique habituelle : les riverains doivent être informé sur les projets en cours d‘instruction par les services de l’urbanisme, grâce à ces réunions publiques où ils peuvent s’informer et réagir » en ajoutant : Il n’est pas question de s’affronter mais œuvrer à prendre en compte l’ensemble des problémes et déminer le terrain. Et si des gens cherchent l’affrontement avec la mairie ou les maîtres d’ouvrages, ils n’ont pas leur place ici ». Tout en  les remettant  quelquefois à leur place  «  Si des réunions comme celles-ci sont organisées, ce n’est pas pour présenter des plans faux, mais pour voir ce qui sera réalisé et implanté « avail il déclaré à un promoteur . « On part du principe à Vanves que si quelqu’un pose une question, c’est avec raison, que ce n’est pas un abruti ! ». Enfin, il a souvent rappelé« que la ville n’est pas toujours au courant de ce qui se trame entre propriétaires privées et promoteurs, car contrairement à ce que croient certains dans ce domaine, beaucoup de choses se décident en privé ! ». 

    En dehors de l’immobilier,  ses réunions publiques ont concerné le site propre du CD 50 rue A.Fratacci (2 Février 2009), l’aménagement de la rue de l’Eglise (5 Mai 2009), du mail Sadi Carnot (Dec 2009, Avril 2012), le budget et les finances locales (23 Juin 2009),  le PLU (3 en Avil 2009 et le 14 Décembre 2009 notamment en dehors des réunions de quartier et des comités Consultatifs) , le nouveau conservatoire (9 Juin 2011 et 11Fev 2013), le devenir de la rue de l’Avenir (18 Oct 2011) avec une autre sur le projet (contesté par riverains) de centre cutuel et culturel musulman (3 Oct.2013), la sécurisation du parking Papillon (8 Nov 2011),  la requalification de la rue Louis Dardenne (19 Nov 2012 – 9 Avril 2013), l’aménagement du square Jarrousse ( 4 Oct. 2012), le Grand Paris Express (15 Oct.2012), la sécurité dans certains quartiers  (31 Janv 2013 et 19 Fev 2013), la restauration scolaire (12 Fev 2013), la fibre optique (25 Mars 2013). D’autres thémes d’actualités ont fait l’objet de présentation et d’échanges dans le cadre plus limité des comités consultatifs comme l’extension du stationnement réglementé,  des zones 30 et 20 etc…

  • RETOUR SUR LE CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES (suite et fin) : Secours, aides, subventions en tout genre…mais sans unanimité

    De nombreuses délibérations à l’ordre du jour de ce conseil municipal de la semaine dernière, ont suscité des questions, des débats et de nombreuses prises de positions

     

    PAVILLON TSVETEAVA : Ce projet a pris du retard et a nécessité de renouveler la demande de subvention de la ville, suite à une erreur d’évaluation  du chiffrage par la maîtrise d’œuvre. « L’enveloppe paraissait très haute, par rapport aux priorités de l’équipe municipale » a-t-on répondu à une question de Jean Cyril Le Goff (PS). Ce qui nécessite tout de même un nouveau permis de construire

     

    LOCAL DE QUARTIER : La ville de Vanves a acheté pour 19 000 € un local  de 68,30 m2avenue de Verdun occupé par une entreprise de peinture,  pour en faire un espace semblable à Latapie ou La tuilerie. « La ville qui gère bien ses biens, devrait récupérer des places de parkings tout à côté qu’elle devrait louer et dont le produit financera cet achat » a annoncé le maire

     

    RESTAURATION : L’ensemble des élus vanvéens, sauf les Verts, est favorable à une délégation  de service public en la matière, confié jusqu’au 31 Août 2014 à la société ELIOR/ELRES, dont le conseil municipal a lancé la procédure de renouvellement, et l’appel à candidature, car « il apparaît pertinent  et adéquat de confier ce service à un prestataire spécialisé et aguerri à ce type d’exploitation afin d’offrir aux usagers un service public de qualité exploité dans des conditions optimales de qualité, d’hygiène et de sécurité. De surcroît, il permet la prise en charge par le délégataire des investissements nécessaires à l’exploitation optimale du service et la prise en charge totale de la prestation (maintenance, fourniture..) ». Le groupe EELV a préconisé  « une organisation plus intercommunale de cette restauration », et « qu’une action forte soit menée contre le gaspillage alimentaire ». Le groupe PS a souhaité que soit organisé une concertation avec la communauté scolaire en amont de la rédaction du cahier des charges et que soit mieux pris en compte le bio. « Vanves se situe dans le haut du classement des prestations » a indiqué Marie Françoise Goloubtzoff (UDI) maire adjointe (Ecoles) en rappelant que 341 242 repas sont confectionnés par an dont 321 660  dans les écoles, 6258 pour le portage de repas à domicile, 7 167 à Danton, 6 157 dans les structures petite enfance». « C’est une grande responsabilité » pour le maire qui a insisté sur « la nécessité de relations étroites entre les parties prenantes. Nous avons un haut niveau de prestations au regard de l’investissement et de la participation financière ». 

     

    NOTRE DAME DE FRANCE : La participation de la commune aux dépenses de fonctionnement de cet établissement scolaire privée a fait débat comme d’habitude. Bernard Gauducheau (UDI) a expliqué que « cette participation financière est un choix qu’a fait Vanves et qu’elle n’est pas énorme par rapport au coût de scolarisation des enfants ». MF Goloubtzoff (UDI)  a indiqué qu’il accueille 28 enfants en maternelle, 52 en élémentaire et 30 au collège, réfutant l’argument d’une augmentation des effectifs.  Lucile Schmid (EELV) a regretté de voir que « les parents mettent leurs enfants dans le privé jusqu’en seconde, pour les faire entrer ensuite dans le public, en visant le lycée Michelet » qui est surbooké. « La question est de voir le nombre d’isséens qui se sont domicilié à Vanves pour pouvoir aller à Michelet » a noté David Mahé.

     

    STADE DE VANVES : Le Conseil Municipal a voté une subvention exceptionnelle au Stade de Vanves notamment parce que cette association qui emploie un agent permanent pour s’occuper de questions administratives, comptables, réglementaires de toutes sortes liées à son fonctionnement, avait besoin de renforcer sa structure grâce au recrutement d’une seconde personne capable de prendre en main ses problématiques et  de gérer les relations avec les acteurs du monde sportif (fédérations, CNDS…). La prise en charge de cet emploi constituait toutefois une charge importante (23 484 € de Sept 2013 à Mars 2014) qu’a pris en compte la ville. Mais ce n’est pas tout, car elle versera une subvention de 25 000 € à la section Tennis dont les bons résultats ont permis son maintien en division nationale. Et de 15 000 € à la section Hand Ball afin d’aider son équipe première à remonter en Nat.3, car sa montée durant la précédente saison  avait entraîné une dynamique extrêmement positive consacrant le travail de fond mené depuis plusieurs années par ses dirigeants. « Il serait tout à fait dommageable que la rétrogradation de l’équipe première nuise à cette dynamique »

     

    SECOURS : Cette association caritative a fait une demande de subvention exceptionnelle de 1000 € pour pouvoir assurer le renouvellement de son stock d’urgence et  de secours alimentaire. D’autant plus qu’il assure, sur demande des travailleurs sociaux de la commune, un accueil  avec aide alimentaire d’urgence. Et que ses colis sont réalisés avec le quota de denrées provenant de la collecte annuelle de la Banque alimentaire que le Secours Catholique peut garder. Cependant la collecte de Novembre 2012 a été en nette diminution par rapport à 2011 (-17%). Ainsi la ville lui permettra d’assurer les approvisionnements nécessaires aux distributions de colis alimentaires prévus jusqu’en Novembre 2013 grâce  à des achats de produits venant à manquer. Le groupe PS dans une question orale s’est étonné surtout que cette association soit énormément sollicité par les travailleurs sociaux de la CVS (circonscription  de la vie Sociale) du département alors qu’ils pourraient plutôt se retourner vers le CCAS et le Libre Service Social

     

    CONSEIL DE QUARTIER : Quelques modifications ont été apportées au règlement intérieur des 3 conseils de Quartier à l’initiative de celui des Hauts de Vanves afin de leur donner « une base de représentativité plus large ». Elles donnent la possibilité de créer des commissions communes à plusieurs conseils de quartier. Elles suppriment la parité homme/femme et l’équilibre entre anciens et nouveaux vanvéens « afin de pouvoir les ouvrir davantage aux administrés souhaitant s’investir ». Elles permettent de créer des fiche-navette afin d’assurer un suivi entre les doléances des administrés. Le groupe EEELV a voté contre : « La démocratie de proximité est importante pour nous. Il y a des difficultés à les faire fonctionner. Leur rôle n’a pas été assez réfléchi » a expliqué Lucile Schmid (EELV). Claudine Charfe (FdeG/PC) s’est abstenu en regrettant qu’il n’y ait que « des élus de la majorité au sein de ces conseils de quartiers » et que Bernard Roche ait refusé son entrée au Conseil des Seniors

  • RESTAURATION SCOLAIRE A VANVES : UNE REUNION PUBLIQUE PILE POIL !

    Une cinquantaine de personne dont beaucoup de représentants de parents d’éléves et quelques enseignants, ont participé Mardi dernier (12 Février)  à une réunion publique sur la restauration scolaire, à laquelle avaient été invité toutes les familles qui ont un enfant à l’école. « Un sujet très spécialisé, qui suscite beaucoup d‘intérêt lorsqu’il y a des problémes, mais pas lorsque cela va bien » a constaté le maire aux côtés des représentants de la société Elior.

     

    « Alors que Vanves s'est depuis de nombreuses années engagée dans une démarche de qualité et de transparence quant à l'origine et la traçabilité des viandes servies dans ses restaurants scolaires, l'actualité récente au Royaume-Uni et en France dans le domaine alimentaire induit une communication spéciale de la part de la Ville à ce sujet. La société Elior, prestataire de la Ville pour la restauration scolaire, garantit que les lasagnes au bœuf surgelées et autres produits assimilés surgelés (hachis parmentier, cannellonis, moussaka…) ne proviennent pas du fournisseur incriminé. Dans les restaurants scolaires vanvéens, la traçabilité des viandes fait l’objet d’un plan de suivi permanent conclu entre la Ville et Elior.  Contractuellement, la Ville de Vanves n’accepte dans ses cantines que du bœuf de race à viande d’origine française. Elior s'assure régulièrement de la traçabilité totale de sa viande bovine, en remontant toute la filière : depuis ses restaurants, ses cuisines et ses fournisseurs (abattoirs français), jusqu’aux producteurs (élevages français). Chaque bovin est ainsi clairement identifié » indiquait le maire de Vanves sur son blog au début de la semaine

     

    Les représentants de la société Elior ont présenté ce que représentait la restauration scolaire sur la ville, quels étaient les processus qui étaient mis en œuvre pour assurer les 340 000 repas et 55 000 goûters, par an soit 3000 repas par jour servis dans les créches, les écoles maternelles et élémentaires, les centres de loisirs, le foyer Danton, le portafe de repas…D’après la municipalité,  le taux de satisfaction  auprés des enfants est positif (85%) pour une participation des familles raisonnnable, puisque sur 9,7 € le repas, 6,4 € sont pris en charge par la ville.  Il a été beaucoup question de traçablité, de  l’affaire de la viande de cheval dans des plats préparés fabriqués par Comigel. Vanves est l’une des  rares villes à avoir institué un contrôleur de restauration,  pour faire la liaison entre la mairie et le concessionnaire pour s’assurer que les prestations correspondent au cahier des charges. « Souvent c’est le problème, car lorsque les communes déléguent des services à des prestataires de services, elles n’en assurent pas le contrôle » constatait le maire.  D’autres questions ont concerné  l’élaboration des menus. Bernard Gauducheau  a insisté sur le fait que  « 20 ans après l’instauration de cette liaison froide, la ville maîtrise bien le dispositif, mais on pourrait aller plus loin, en mettant en œuvre un partenariat avec les familles, de telle sorte que l’éducation à la nutrition des enfants ne repose pas uniquement sur les 4 à 5 repas pris à l’école, mais aussi sur les parents afin qu’ils aient  un rôle complémentaire ».

     

    Coincidence, Le Conseil Régional de la Région Ile de France examinait deux jours après cette réunion, un rapport tout à fait d’actualité sur les filiéres agricoles et une alimentation de qualité et de proximité : « Chiffres à l’appui, l’alimentation de qualité et de proximité constitue une attente pour les 12 millions de consommateurs Franciliens, qui se déclarent adeptes de fruits et légumes et très sensibilisés aux labels locaux. Mais en Ile de France, seulement 18 % des exploitations sont intégrées à un circuit de commercialisation en circuit court. Un chiffre modeste, d’autant que restaurants collectifs, marchés, salons, et magasins de producteurs verraient d’un bon œil l’arrivée de produits du terroir francilien. Un enthousiasme qui se heurte pourtant à des difficultés structurelles et naturelles. Exploitations agricoles de moins en moins diversifiées, problèmes d’acheminement des produits, saisonnalité des fruits et légumes, manque  d’infrastructures de transformations,  l’ÎDF reste un territoire de rupture entre ceux qui produisent vers l’export et ceux qui consomment ».

    Ce rapport constatait que l’élevage laitier et allaitant sont des filiéres isolées, le cheptel francilien  étant passé de 35 000 têtes en 1970 à 12 000 têtes en 2010 ( 6394 vaches laitiéres et 6256 allaitantes). « La filiére laitiére bovine souffre d’exploitations isolées, peu soutenues, alors qu’elles sont performantes, bien structurées avec une production élevée,  victime du désintérêt des industriels pour leur production avec un risque d‘abandon de la collecte (de lait). L’élevage allaitant (250 éleveurs pour une production de 2400 tonnes de viande) souffre des élevages très dispersés, des frais de transports et d’abattages élevés, l’absence de label qualité régional, et la disparition des acteurs para agricoles (conseillers spécialisés, fabricants d’aliments, vétérinaires ruraux) ». Sans commentaires.